Mob-ion est une entreprise qui conçoit des solutions électriques, en pérennité programmé.
Ecoutez l’interview de Christian Bruere, fondateur de Mob-ion,ici.
Cette interview a été réalisée par Circular4Good : Le podcast qui vous donne les clés d’un pivot réussi vers l’industrie circulaire. Cette émission est proposée par Grégory Richa et Aurélien Gohier, et est co-produite par OPEO et #Industry4Good®.
Nombreux sont ceux qui nous demandent mais finalement « C’est quoi une startup industrielle ? » ; « Qui sont-ils/elles ? » « Où sont-ils/elles ? » alors bien sûr on invite dans un premier temps à consulter notre Glossaire mais nous souhaitions aller plus loin.
Aussi pour initier cette démarche, nous avons mis en place un partenariat avec l’Association INTERpreneurs. L’ association des INTERpreneurs a pour objet de fournir des conditions qui permettent au dirigeant de PME de devenir un INTERpreneur, c’est à dire de découvrir le potentiel de « l’écosystème » qui l’entoure, et d’en tirer parti pour faire de son entreprise une entreprise forte, moderne et résiliente.
Technique de l’ingénieura interviewé la Présidente du Collectif Startups industrielles France dans le cadre de notre appel à candidatures de l’Accélérateur Amorçage Industriel Circulaire.
Le Collectif Startups Industrielles France lance le premier accélérateur destiné aux startups industrielles qui souhaitent amorcer leur virage vers un modèle circulaire. La présidente du collectif, Éléonore Blondeau, nous explique la démarche. Retrouvez l’interview ici.
Le Collectif Startups Industrielles France (CSI France), avec le soutien de La FrenchTech, lance le premier accélérateur destiné aux startups industrielles « linéaires » qui souhaitent pivoter vers un modèle circulaire et celles qui ont déjà un modèle circulaire et souhaitent l’industrialiser à grande échelle. Retrouver l’article completici
En France, moins d’un étudiant en école d’ingénieurs sur trois est une femme. Et la réforme du bac n’arrange rien. Un sursaut est nécessaire. Par quels leviers ?
Le 19 janvier 2023 se tenait la première conviviale de l’année du Collectif Startups Industrielles France à Angers.
L’évènement était hébergé parWe Network, au sein de leur Technocampus, et co-animé par Axanduset Pôle EMC2,tous 3 partenaires officiels du CSIFrance. Cette rencontre était l’occasion pour les startups industrielles, les acteurs territoriaux, financiers, et accompagnants de se réunir afin d’étudier quelles sont les possibilités de synergies.
Le CSI France a également pu profiter de cette occasion afin de présenter ses 2 gros projets phares de ce début d’année 2023 :
L’appel à candidatures pour l’Accélérateur Amorçage Industriel Circulaire, destiné aux startups industrielles « linéaires » qui souhaitent se circulariser ou celles déjà circulaires et qui souhaitent industrialiser leur projet à grande échelle.
Le Village Startups de Global Industrie 2023, qui se déroulera du 7 au 10 mars à Eurexpo Lyon.
Bref Ecoa relayé notre appel à candidature dans le cadre du programme de l’Accélérateur Amorçage Industriel Circulaire 2023.
L’association lance un accélérateur destiné aux start-up industrielles qui souhaitent pivoter vers un modèle circulaire ou à celles qui ont déjà un modèle circulaire et qui souhaitent l’industrialiser à grande échelle. Cette première promotion comptera vingt start-up de toute la France. Retrouvez l’article ici.
Face aux pénuries et aux ruptures d’approvisionnement, la question de la relocalisation se pose avec insistance aujourd’hui en France.
Notre Présidente Eléonore Blondeau a été invitée par France Inter pour discuter de la question de la relocalisation en France.
Avec Jérôme Cuny Co-auteur deRelocaliser(Tana, 2022) et Anaïs Voy-Gillisdocteure en géographie, chercheuse associée à l’Institut d’Administration des Entreprises.
Nous avons interviewé un de nos membres, Jérôme Poulalier, photographe d’entreprise et fondateur de Reportages-Metiers.fr pour lui donner la parole sur l’importancede soigner son image d’entreprise, notamment dans le cadre des recrutements.
CSI France : Jérôme, pouvez-vous vous présenter rapidement ?
JP: De formation technique (mécanique) puis diplômé d’un MBA, j’ai travaillé pendant plusieurs années dans le secteur automobile (Renault Trucks, JTEKT, Valeo), pour le quitter il y a bientôt 10 ans. Aujourd’hui à mon compte en photographie et reportage d’entreprise, je mets ma connaissance du monde de l’entreprise au service de clients qui souhaitent communiquer autrement sur leur savoir-faire, leurs équipes, leur environnement de travail. Je suis basé à Lyon et j’interviens sur toute la France, parfois même à l’étranger sur des missions scientifiques par exemple.
CSI France : Qu’est ce qui vous a poussé à vous spécialiser dans la photographie au service des entreprises ?
Pour y avoir travaillé pendant des années, je sais à quel point la communication peut parfois être le dernier des soucis des industriels. En même temps, comme je le disais, j’ai aussi fais mes études en business développement et travaillé dans des services marketing donc je sais à quel point c’est important. J’ai tellement vu d’entreprises faire un travail fabuleux et ne pas du tout communiquer dessus, j’ai trouvé ça dommage et donc décidé de me positionné sur ce créneau. J’accompagne donc les entreprises qui souhaitent valoriser leur savoir-faire, et travaille à sensibiliser celles qui n’y voit pas encore l’intérêt.
CSI France : D’après vous, quelles sont les raisons de ce manque de communication visuelle et pourquoi cela peut-il avoir un impact sur le recrutement de nouveaux talents ?
Bien souvent la raison numéro 1 est le manque de temps. Le temps disponible pour faire de la communication n’est pas toujours là, et la capacité de recruter pour y dédier une personne non plus. De plus, cela peut parfois paraitre inutile parce que l’entreprise tourne bien sans communication.
On sait toutefois que 90% des candidats à un poste effectuent une recherche sur l’entreprise visée, il est donc important de travailler son image grâce à la photographie. Elles reflètent votre entreprise, l’identité et le profils des personnes qui y travaillent. Ces images sont cruciales pour inscrire votre entreprise dans la dynamique actuelle, faire valoir votre activité, votre expertise, mais aussi vos équipes. Vous favoriserez ainsi vos recrutements, mais aussi vos demandes de subventions, candidatures aux prix ou concours divers, et votre communication au sens large pour engager vos clientèle actuelles, vos prospects ou votre audience en général.
CSI France : Quelle est d’après vous la règle numéro 1 concernant son image d’entreprise ?
Le plus important pour maitriser son image et la perception des valeurs de votre entreprise : éviter les photos de banque d’images. Elles sont vues et revues, se repèrent instantanément et sont complètement dépourvues de message. Préférez des photos mettant en avant vos « vrais » employés, vos « vrais » locaux et les véritables gestes ou situations types de votre quotidien.
CSI France : Si l’entreprise possède les ressources ou le temps disponible, quels serait vos conseils pour aller plus loin et bien commencer à s’inscrire dans cette dynamique ?
Mettez absolument en avant l’humain! Qui se cache derrière votre produit ou service ? Créez et diffusez largement les portraits de vos collaborateurs ! Sans forcément les faire poser devant un mur façon trombinoscope des années 2000, optez pour des portraits naturels, devant leur poste de travail, en réunion, sur le vif lors d’un échange avec un collègue, autour d’un dossier, sur une ligne de production ou dans votre atelier. Ressortiront de ces photos un coté naturel et authentique que vos futurs employés vont chercher en faisant leur veille. N’en faites pas trop, restez authentiques et fidèles à la réalité de votre quotidien. Pensez aussi à accompagner vos photos de portraits d’éléments de contexte. Un peu de la même façon que lorsqu’on lit un livre, on aime avoir des détails, des informations complémentaires pour se projeter. En photographie d’entreprise et pour votre marque employeur c’est le même principe. En proposant des photos de vos équipements ou de vos lignes de productions, vous apportez non seulement une notion de technicité que certains vont apprécier, mais aussi et surtout des informations sur l’environnement de travail dans lequel vont évoluer vos futurs employés.
Pensez à varier les points de vue, sans pour autant réaliser 150 photos de vos entrepôts ou ateliers de productions, privilégiez les photos des étapes cruciales de fabrication, sans révéler les secrets de fabrication, mais donnant suffisamment d’éléments visuels pour se projeter (gros plan sur les matières ou les outils, plans large d’une ligne de production complète, photos d’un employé à l’œuvre sur une opération type…).
Pour finir et dans la continuité des photos précédemment citées, pensez à mettre en avant votre branding. Vous êtes partis pour faire l’effort de ne pas tomber dans le déjà-vu de la banque d’images, alors montrez votre logo ! Faites porter les t-shirts brodés à vos équipes et assurez vous qu’on le voit sur les images, laissez trainer un dossier estampillé sur l’atelier ou la salle de réunion, si vous avez d’autres objets publicitaires, pensez-y également. Tout est dans la demi-mesure comme toujours, sachez le faire discrètement et intelligemment, mais assurez-vous que votre audience comprenne tout de suite qu’il s’agisse de photos prises chez vous.
CSI France : Comment les entreprises peuvent elles s’organiser en amont de ces shootings ?
Préparez votre projet avant de vous lancer tête baissée dans un chantier de production d’images. Identifiez tous les lieux, les actions, les détails à photographier et préparez-vous un brief, que vous suivrez à la lettre. Certaines opérations sont réalisées tous les jours, mais d’autres peuvent l’être à un moment précis de la semaine ou du mois, d’autres sont uniquement effectuées lors de temps forts. Les portraits également sont des photographies qui prennent du temps à préparer, trouver le bon fond, le bon contexte, la bonne tenue, la bonne émotion…
Une fois toutes ces photos réunies, assurez-vous de les retoucher un peu pour qu’elles soient optimales en termes de rendu et de poids (pas trop lourdes pour l’utilisation en ligne et pas trop compressées pour l’impression) et organisez les par thème (portraits, production, détails, matières …) de façon à pouvoir les retrouver rapidement lorsque vous en aurez besoin. En effet, elles pourront vous servir dans de nombreuses situations, comme dans vos dossiers de presse ou rapports d’activité, pour la prochaine mise à jour de votre site internet ou votre prochain article de blog, sur vos réseaux sociaux, pour vos demandes de subventions, dans vos newsletters… De manière générale, essayez de réaliser des photos régulièrement selon le même mode opératoire, pour dynamiser votre propre bibliothèque et vous assurer de la conserver à jour.
